Un jour comme un autre. Une vie comme une autre. Un pas comme un autre. Tu te forces à avancer. Pour continuer. Vivre. Profiter. De quoi et de qui. Peu importe. On t'a toujours dit. Continue. Progresse. Bas toi et avance. Et toi, Liam. Toi, tu obéis. Tu n'as rien de mieux à faire, rien de mieux à dire, rien de plus à comprendre. Tu continues ton chemin, ton chemin de merde, tu l'a tracé, tu le regrettes mais, tu ne peux rien faire. Même le pouvoir de side ne te permettrait pas de retourner en arrière. Même le plus beau des pouvoirs ne rachèterait pas tes erreurs. Parce qu'elles sont irréparables. Parce qu'elles sont impardonnables. L'enfer t'es déjà promis. Tu ne fais que retarder l'échéance qui t'y conduira. Les flemmes, les souffrances que tu mérites, celles que tu as infligées aux autres te seront finalement rendues. Foutaises. Tu n'y crois pas à l'enfer. Et pourtant. Pourtant tu voudrais tellement. Tellement qu'il existe, pour pouvoir y aller. Parce que tu te sens sale. prends une douche et ça ira peut-être mieux? *paf* Tu sais qu'il faudrait commencer à te pardonner toi même pour te faire pardonner. Parce que tu ne demanderas pas pardon. Tu n'en auras plus l'occasion de toute façon. Les morts ne sont pas censés s'excuser. Ni parler. En fait ils ne sont même pas censés se balader dans cette ville dans l'espoir de trouver quelqu'un ayant du feu. Parce que quand on a pas de cerveau, on a des jambes. Et tes jambes te servent. T'as pas de feu. Pas de feu pour une bonne cigarette. Pour un remède. Pour arrêter de penser.

Alors un pas devant l'autre, tu attends de croiser quelqu'un. La nuit n'est pas encore tout à fait tomber. C'est l'heure où les enfants rentrent chez eux avec leur ballon, où les odeurs des cuisines commencent à s'évaporer dans la ville, où les familles se retrouvent chez elle pour profiter d'un bon moment ensemble. Et toi Liam, dis moi, qui vas-tu rejoindre ce soir? Quelle famille te reste-t-il ? Annabeth ? Cette femme qui te garde en captivité et dont tu ne peux t'empêcher de profiter ? LOL Liam. Ouvre les yeux. Qui profite vraiment de qui. Tu te complais dans cette situation. Mais au fond. Tu ne sers à rien. Elle pourrait te jeter comme elle t'a pris. Et tu te contentes d'obéir. Tu n'as pas le choix. Mais. Merde. Réveille toi. Les gens ne t'ont pas vu partir. Ils n'ont pas pu te dire au revoir. C'était peut-être mieux ainsi. Ils n'ont pas vu ton dernier souffle. Ils y ont cru. Une rumeur est si vite lancée. Une rumeur venant d'Anna devient vite réalité. Liam n'existe plus. Je devrais arrêter d'autant le répéter. Maintenant tu es Waltz, Adams, nom de ta mère que tu chérissais tant, nom d'une valse que tu aimais autant. Souvenir d'un passé qui te berce tous les jours un peu plus. Tu t'es dit "Je vais les oublier", tu t'es dit "Après tout, ils n'ont rien été". Mais la réalité et différente. Ils ont tous. Tous joués un rôle important qui te poursuit encore aujourd'hui. Même Kyoukou, qui était censé être ton pire ennemi, est le seul avec qui tu as osé garder contact. Le seul en qui tu avais vraiment confiance. Le père que tu n'avais jamais vraiment eu. Celui qui t'as fait ouvrir les yeux sur tout, qui t'as laissé croire aux "monstres de vampires" mais qui te rappelait que tu en étais un. Et tu l'aimais bien. Bougre idiot.

Mais il n'est qu'un parmi tant d'autres. Cette période de ta vie, Another Side, tu voulais tirer un trait dessus. Et te voilà de retour à Tokyo. Pour simple affaire. Et pourtant. Toi. Connard. Tu te balades. Tu vas te faire choper. Tu sais qu'ils vont te retrouver. Kyo, ou Neal. Ils vont t'apercevoir, et venir vers toi, à un moment où à un autre. Et le pire étant que tu ne fais même pas attention, tu demandes au premier passant que tu croises du feu. Il n'en a pas. Pour changer. Quelle merde. Tu te permets de continuer. De te dire "encore une fois", d'encore une fois vouloir une cigarette. Tu veux tomber sur l'un d'eux. Sur un de ces idiots. Tu veux les revoir. Tu veux l'interdit. Tu l'as toujours voulu. Alicia l'était. Tu l'as perdue. Elle est morte, à cause de toi. Idiot, mais peu importe. C'est du passé ça aussi. Et Kimy. Sais-tu seulement à quel point tu l'as blessée ? Te rendais-tu compte que tu étais son seul et unique ami ? Le seul sur qui elle ait un jour eu confiance ? Non. Tu ne voyais en elle que la petite peste capricieuse qui te torturait. Ca a toujours été comme ça, Liam. Tu l'adorais mais tu n'étais que sa pièce maitresse. Alors elle t'a adoré et elle n'était plus que celle qui te torturait. Ton rôle revenait en fait à être un sexologue entre elle et Dracula. Le brave acte. T'as essayé de lui faire ouvrir les yeux, à ce vieux fou, qu'il était amoureux d'elle. Sais-tu seulement aujourd'hui où est-ce que ça l'a menée ? Non. Tu ignores tout. C'est peut-être mieux comme ça. Mieux pour toi.

<< Je veux juste du feu, après faite c'que vous voulez dans votre malheur. >>

Réponse instinctive. Sans même lever la tête. On te parle, tu réponds. Avec politesse, seul véritable tact que tu es choppé durant ses trois dernières années. Question d'affaire > Un inconnu est toujours potentiellement un prochain client. Bref. Là, c'est pas le cas, il te suffirait juste de mieux regarder. Ok. Bien. Concentre toi sur elle. Et ferme la bouche avant de gober des mouches. Oui. Oui t'as bien vu. Maintenant arrête avec ce putain d'air ahuri. Dis quelque chose, n'importe quoi, au lieu de la regarder, bouche entre-ouverte, yeux écarquillés de stupeur plus que de peur, ta cigarette en équilibre entre tes deux doigts et... et coiffe tes cheveux parce que ça fait peur. Bref. Tu vois Liam, quand j'parle du loup, il arrive à tous les coups. Et là, ne parlions nous pas de Kimy ? Kimy Lullaby ? Oui. Elle ne t'a pas échappé. En même temps, elle n'a pas changé. Ou si peu. Ses cheveux ont juste poussé. Ara Liam, tu es devenu dur du flaire, tu ne l'as même pas sentie. C'est le tabac qui fait ça tu sais. Oui tu sais. Mais tu t'en fous. Comme le reste. Sauf que là, t'es tombée sur. Ton. Passé. Tu voulais la voir, autant que les autres. Tu craignais juste plus ces retrouvailles... Voyons simplement jusqu'où est-ce qu'elles vont te mener...

<< Bordel..... K.... KIMY ? ! >>

Le temps passe. Comme le reste. Les corps finissent mangés par les vers. Le plastique finit par se désintégrer. La vie finit par s'envoler. Tout. Tout n'est qu'une question de temps. Même les plus grandes blessures se referment avec ce dernier. Tu le sais Liam. Comment aurais-tu pu faire le deuil de Mairu, le deuil de Kururu sans ça ? Le temps est ton ami. Et pourtant. Pourtant il te poursuit, te fait peur et t'empoigne. Il te dicte de faire ci, de faire ça avant la mort, parce que tu en as peur, de la faucheuse, tu en as peur, de ne plus voir les oiseaux dans le ciel. Ouais Liam. Un trouillard. Et un lâche. Parce que dès que t'as peur, tu te renfermes, tu t'enfuis, tu t'exclus. N'est-ce pas ce que t'as fait ? Ce que tu feras toujours ? Si. Tu le sais, tu t'en veux, tu te maudis, mais tu ne fais rien contre. Parce que de changer aussi, tu en as peur. Les changements, ça t'effraie et te fait hurler. Tout te fait hurler de toute façon. . .

Et là, dans ton fort intérieur, c'est que t'aimerait faire. Hurler, crier contre ce Karma de merde qui te maudit depuis le jour de ta naissance, contre toi même, parce que tu te détestes, tu t'en veux, les remords te rongent. Ils volent ta vie. Ils volent ton âme. Ils sont comme ces vers que je mentionnais plus tôt qui mangent les corps démunis de vie. Ces regrets bouffent ton âme sans vie. Ton âme perdue. Qui est fatiguée de fuir. Et pourtant. Tu aurais pu te confronter à eux, leur avouer que tu étais un level E, te faire aider. Et tu as refusé. Par fierté ou bien par peur, t'es le seul à le savoir. Non. Je suis la seule à le savoir, parce que toi, Liam, tu n'arrives même pas à te cerner toi même. Tu te perds dans tes mensonges, t'enfonces dans ce dernier remède qu'il te reste contre la réalité. La triste réalité. Les larmes qu'elle est en train de verser. Tu sais que tu en es responsable. Mais est-ce que au moins tu vas cette fois ci l'accepter ? Est-ce que tu ne vas pas fuir cette réalité et te cacher dans tes mensonges ? Oui. Elle pourrait pleurer à cause de Kyoukou.

Ploc. Une goutte s'écrase au sol. Ploc. Une sur ton épaule est tombée. Et toi tu continues à rester silencieux. Les gouttes s'accentuent, deviennent nombreux. Plac. Une encore. Mais est-ce vraiment le bruit des gouttes d'Hibari ou bien est-ce ces larmes, qui pèsent si lourd dans ton cœur dont tu entends l'écho retentir à chaque fois qu'elles tombent ? Ploc. Une de plus. Et tu ne sais pas quoi dire. Tu as oublié comment ouvrir ta grande gueule. Ça te rappelle un peu cette première fois où vous vous êtes rencontrés. L'orage l'avait faite pleurer. Tu sais ce qu'il te reste à faire. Tu n'aurais qu'à aller lui attraper les épaules et tu t'excuserais. Tu lui raconterais tout ce qu'il s'était passé, tu lui dirais pourquoi tu les as tous quittés. Tu lui susurrerais des mots rassurant, des mots qu'elle attend, et tu partirais, tu disparaitrais comme tu es venu. Comme un lache l'abandonnant encore une fois. Oui, enfin ça, c'était si tu étais courageux. Si tu t'ouvrais un peu plus aux autres. Si tu montrais un peu plus tes sentiments. Plop. Choisissons la facilité.

<< H... HOY !! PLEURE PAS IDIOTE ! T'APPELLES ÇA DES RETROUVAILLES TOI ? ! >>

Courageux mais pas téméraire comme on dit. Ouvrir ta grande. gueule. de. merde. ça tu sais le faire. Tu le fais même très bien. T'as acquis l'expérience pour maintenant. Mais n'en sois pas trop fier. Parce que j'ai envie de te dire que LOL t'as aussi de l'expérience pour faire pleurer Kimy, pour faire chier Alicia, pour rendre malheureux Kyo, pour gâcher la vie de Dracula. Ooooh oui ça tu en as de l'expérience. C'est tellement plus facile de faire souffrir les gens. Tellement pathétique. Tellement toi. Regarde autour de toi. Qui as-tu déjà vu sourire ? Kyo, qui se forçait surement à rigoler ? Side, qui se foutait de ta gueule ? Ouvre les yeux. Alicia ne t'a jamais offert un sourire. Kimy ne t'as jamais offert un rire. Tu as toujours. Toujours. Rendu le monde autour de toi malheureux. C'est ainsi. Tu transportes avec toi une malédiction, il faut que tu t'y fasses. Ou pas. Fais ce que tu veux. Mais sache juste que t'as plus trop le choix. Oui. C'était mieux de partir.

<< Et puis pose pas de questions. Ça te regarde plus. >>

Et voilà. Une fois encore tu fuis. Fuis la réponse qui viendra tu le sais. Tu veux tourner autour du peau. Ne pas lui dire que tu ne leur as pas fait confiance. Que tu as voulu t'en éloigner. Et tu n'assumeras jamais que c'était pour les protéger, les protéger de toi, donc ça, tu le diras pas. Et tu vas juste continuer à ouvrir ta grande gueule. Comme toujours Liam, c'est le cycle, c'est comme ça.

Que devais-tu faire. Quelle chose avais-tu toujours du faire. T'en savais rien. Tu ne sais toujours pas. Des amis, tu en as eu. Quelques uns, quand tu étais petit. Quand tu n'étais qu'un enfant. Alors savoir se comporter comme tel, tu avais oublié. Oublier les réconforts, oublier les rires ensemble, les sorties, les confidences. Prendre sur soi et laisser faire. Dans la rue. Marcher seul. Sans savoir où aller. C'est ce que tu devais faire. C'est ce que tu faisais. Mais tu ne les laissais pas partir. Ce que tu aimais restaient sur ton way sans que tu ne puisses faire quoi que ce soit. Sans qu'ils ne te laissent le choix. Et tu t'es souvenu qu'avoir des amis c'était être aimé. Et aimer. En oubliant simplement comment leur montrer. Mais là. Là tout de suite, tu étais censé sortir une des si belles phrases que tu sais, celles que tu connais si bien, dans ces moments où tu vomis ta gentillesse maladive pour aider les autres. Tout en essayant de garder ta fierté. C'était dans l'état actuel des choses presque impossible. Tu n'avais rien à montrer. Cette douleur qui t'empoignait le cœur à chaque fois que ce ploc retentissait tristement sur les pavés du monument t'empoignaient l'estomac et en faisait de la viande hachée.

<< ... Te fous pas de moi. >>

Qui se fout de la gueule de qui ? *toussote*. Elle avait tout su de toi. Tout. Vous n'aviez presque plus d'intimité l'un pour l'autre. Tu lui avais raconté ton passé, même montré des photos de Kururu. Elle avait même deviné tes sentiments pour Alicia. Tu les cachais si bien lol. Et puis. Tu l'as toujours aidée. Ou presque. Et. Combien de fois êtes-vous restés dans la même chambre à passer des journées noires (lol équivalent de nuits blanches je suppose xD) a vous consoler et vous raconter vos erreurs ? Hm ? Combien de fois l'avais-tu faite pleurer ? Tu avais presque toujours trouvé les mots. Quand ça concernait Dracula en tout cas. Elle est têtue. Dure à calmer. Mais toi tu savais. Tu sais. Comment la calmer. Mais là. Tout de suite. Tu sembles avoir oublier. Parce que ça te concerne, et que tu ne sais pas t'excuser. Brave bête. Alors que vas-tu faire ? Rester planté là à la regarder en l'écoutant raconter son charabia que tu ne comprends même pas ? Non parce que, avouons le, tu ne comprends même pas de quoi elle parle. Une bêtise. Si elle avait fait un bêtise, alors toi Liam, toi, tu n'étais que le bouffon ayant loupé sa vie. EN fait. Liam. Tu n'as même pas besoin qu'elle ait fait une bêtise pour être cet abruti. Parce que tu sais que t'en es un. Et que. Comme un acteur qui a oublié son texte sur scène, tu as oublié les mots qui la calmeraient. C'était facile de dire que Dracula l'aimait. Facile de la rassurer, facile de lui dire qu'elle n'avait pas à pleurer. Mais là. Dire que toi, elle t'a manqué. Que toi, tu l'aimes. Comme une amie, une proche amie, comme quelqu'un que tu as envie de serrer dans tes bras, non Liam. Là, tu ne t'y abaisseras pas. Connerie de fierté n'est-ce pas ?

<< La connerie est humaine, t'as pas à t'en faire pour ça >>

Dit-il en regardant autre chose que son dos. En regardant plus bas que son dos. Son regard fixé sur cet endroit, intime.... Vous l'aurez compris, je parle bien sur du dallage du sol *paf*. Parce que, Liam, t'as l'air d'un gamin là, à t'abaisser devant une fille qui est quoi... trente centimètres plus petite que toi ? Peut-être un peu moins okay... Mais même, t'as honte alors que t'as rien dit. Mais lui remonter le moral, t'sais que normalement t'y as plus le droit. Que normalmeent, tu devrais l'envoyer chier. La faire te détester encore plus qu'elle ne semble t'en vouloir. Faire en sorte de ne plus jamais la revoir. Ces mots devraient sortir de ta bouche, tu les as déjà prononcés dans des circonstances plus difficiles. Les derniers mots que tu as prononcé à Alicia ne sont ils pas "Putain tu te prends pour qui, t'es rien dans ma vie! Tu crois pouvoir me sauver et être un chevalier ? Mais BORDEL OUVRE LES YEUX T'ES QU'UNE MERDE QUI REFUSE DE VOIR LA VÉRITÉ EN FACE !!!!! LÂCHE MOI". Tu ne pensais pas que tu ne pourrais pas te faire pardonner. Tu ne pensais pas que ces mots resteraient les derniers qu'elle entende de toi. Et tu vas refaire la même erreur avec Kimy. Tu le sais, tu le vois venir, mais. Pourquoi est-ce que tu n'y arrives pas. Pas à juste la faire te détester comme personne ne t'a jamais détesté. Faire en sorte qu'elle t'oublie.

<< Et puis niveau connerie, j'suis mal placé pour juger donc... J'pense que t'es blanche comme colombe à ce niveau là. Pas la peine de pleurer pour si peu >>

La bonheur. Tu te prends pour un confesseur. Non. Un prête écoutant les confessions. Un psychologue peut-être. T'as l'impression de lui remonter le moral ? Tu l'anéantis. Mais c'est ce que tu cherches. Qu'elle t'oublie n'est-ce pas ? Comme elle l'avait déjà fait avant de borie ton sang une nouvelle fois. Comme elle l'avait déjà fait pour ne plus souffrir. Pourquoi ne l'avait-elle pas fait cette fois là ? Par respect ? LOL qui aurait du respect pour toi Liam. T'es qu'une merde. Tu le sais. Tu l'as toujours su. Alors pour une fois. T'essayes de chasser les mouches autour de toi ? Mais Liam. Tu sais qu'elles ne partiront pas. Tu sais que tu ne peux pas changer le passé. Pourquoi est-ce que t'essayes de te racheter quand tu es hors de prix ? Oui. Ta connerie a dépassé tous les budgets possibles. Et puis. Tu te fous de sa gueule. Pour si peu. Que ferais-tu si Alicia revenait. Là. Tout de suite. Ou Mairu. Tu pleurerais. Comme un gamin. Alors. Arrête de parler de si peu quand la personne qu'on adore revient. Enfin tu fais ce que tu veux Liam, comme tu l'as toujours si bien fait. Comme tu as si bien gâché ta vie.

<< T'sais, c'est pas conseillé de pleurer pour les rater. T'as toujours fait que ça. Tu devrais revoir tes fréquentations >>

Bon. Toi elle t'oublierait. C'est sur. Avec ça. En parlant de ça... C'était pas à moitié une confession ? Non. C'était pas à moitié DES EXCUSES ? Peut-être pas. Mais au moins tu assumes être un raté. Brave bête. Est-ce que tu as juste pensé à estimer les chances pour qu'elle croit que tu parles de Dracula et pas de toi ? Beh en fait ça se trouve elle pleurait pour Dracula. DANS LES DENTS SERGENT !